Aarya Totoan Ryokan (Kanazawa)

L’Araya Totoan, situé dans les montagnes de la préfecture d’Ishikawa, est aussi méticuleux que possible. Toutes les chambres possèdent un salon de style tatami dans des tons neutres, avec des fenêtres encadrant des vues sur les bois, plus une chambre simple avec lits futons. Décoration simple à base d’art contemporain japonais, d’abat-jours en papier et, dans le cas de la chambre Sukiya, de travaux du calligraphe Rosanjin, qui a passé une année ici au début du 20e siècle. La salle d’apparat Maeda-han, avec ses colonnes laquées et ses murs vermillon couleur typiques de la région, est celle où l’artiste a réellement vécu. Outre les salles de séjour et les chambres à coucher, les chambres ont toutes leur propre terrasse et des bains rustiques en cyprès alimentés par les sources chaudes. En plus des bains privés, on compte à peine moins de bains publics (trois) que de chambres (sept). Chacun se montre différent de l’autre : l’un, composé de bois très parfumé, se trouve près d’un petit jardin japonais, un autre sur le site d’un étang alimenté par une source d’eau chaude jaillissant de rochers moussus, un autre encore a des airs de cave embrumée, avec murs noirs et peu d’éclairage naturel.

L’Araya Totoan, situé dans les montagnes de la préfecture d’Ishikawa, est aussi méticuleux que possible. Toutes les chambres possèdent un salon de style tatami dans des tons neutres, avec des fenêtres encadrant des vues sur les bois, plus une chambre simple avec lits futons. Décoration simple à base d’art contemporain japonais, d’abat-jours en papier et, dans le cas de la chambre Sukiya, de travaux du calligraphe Rosanjin, qui a passé une année ici au début du 20e siècle. La salle d’apparat Maeda-han, avec ses colonnes laquées et ses murs vermillon couleur typiques de la région, est celle où l’artiste a réellement vécu. Outre les salles de séjour et les chambres à coucher, les chambres ont toutes leur propre terrasse et des bains rustiques en cyprès alimentés par les sources chaudes. En plus des bains privés, on compte à peine moins de bains publics (trois) que de chambres (sept). Chacun se montre différent de l’autre : l’un, composé de bois très parfumé, se trouve près d’un petit jardin japonais, un autre sur le site d’un étang alimenté par une source d’eau chaude jaillissant de rochers moussus, un autre encore a des airs de cave embrumée, avec murs noirs et peu d’éclairage naturel.