Gora Kadan (Mont Fuji)

A seulement une heure et demie de Tokyo par le rail, l’ancienne retraite impériale de Gora-Kadan résonne encore du bruit des armées en faction, du pas léger des assassins sur le gravier et de tout ce qui caractérise la bande son d’une épopée de Kurosawa. D’exécution contemporaine mais d’esprit ancestral, ce ryokan est aujourd’hui rendu au luxe et à la quiétude rurale. Au beau milieu du parc national d’Hakone, dans l’ombre du mont Fuji, il accueille des hôtes sans sabre ni armure, juste motivés par l’idée d’un plongeon dans le grand bouillon des traditions.

Dans des styles allant du typique au tamisé semi-moderne, la plupart des chambres sont équipées de tatamis, futons, cloisons coulissantes et de baignoires façon baquet. Deux sources chaudes cerclées de rochers alimentent les onsen de plein air en eau de bonne santé, riche en minéraux et tendre avec la peau. Au centre du jardin, le spa s’éloigne quant à lui des voies classiques pour croiser dans les eaux internationales : techniques de thalassothérapie, recours aux sels de la Mer Morte ainsi qu’une vaste sélection de massages.

Equivalent direct, par la méthode et le résultat, de la grande cuisine occidentale, la cuisine kaiseki utilise des produits locaux et de saison, soigneusement choisis, pour faire vivre aux gourmets des expériences esthétiques et gustatives de tout premier ordre. Celles-ci ont lieu dans l’enceinte d’une auberge de 1930, ancienne propriété de la famille impériale japonaise, dont les poutres et les murs exhalent encore cette atmosphère de temps anciens.

A seulement une heure et demie de Tokyo par le rail, l’ancienne retraite impériale de Gora-Kadan résonne encore du bruit des armées en faction, du pas léger des assassins sur le gravier et de tout ce qui caractérise la bande son d’une épopée de Kurosawa. D’exécution contemporaine mais d’esprit ancestral, ce ryokan est aujourd’hui rendu au luxe et à la quiétude rurale. Au beau milieu du parc national d’Hakone, dans l’ombre du mont Fuji, il accueille des hôtes sans sabre ni armure, juste motivés par l’idée d’un plongeon dans le grand bouillon des traditions.

Dans des styles allant du typique au tamisé semi-moderne, la plupart des chambres sont équipées de tatamis, futons, cloisons coulissantes et de baignoires façon baquet. Deux sources chaudes cerclées de rochers alimentent les onsen de plein air en eau de bonne santé, riche en minéraux et tendre avec la peau. Au centre du jardin, le spa s’éloigne quant à lui des voies classiques pour croiser dans les eaux internationales : techniques de thalassothérapie, recours aux sels de la Mer Morte ainsi qu’une vaste sélection de massages.

Equivalent direct, par la méthode et le résultat, de la grande cuisine occidentale, la cuisine kaiseki utilise des produits locaux et de saison, soigneusement choisis, pour faire vivre aux gourmets des expériences esthétiques et gustatives de tout premier ordre. Celles-ci ont lieu dans l’enceinte d’une auberge de 1930, ancienne propriété de la famille impériale japonaise, dont les poutres et les murs exhalent encore cette atmosphère de temps anciens.